Marionnette

Footfalls

Théâtre visuel & Marionnettes à gaine, d’après Samuel Beckett

Théâtre aux Mains Nues, 2014

Équipe :

  • Création & interprétation : Shirley Niclais et Nora Lesne
  • Regards extérieurs : Mélisse Magny et Sophie Leila Vadrot, avec le soutien et les conseils de Sébastien Vuillot
  • Création lumière et régie générale : Romain Le Gall-Brachet

Sept, huit, neuf, et hop.

Qui est donc cette femme sans âge, en haillons gris-blancs, qui pas à pas arpente la scène en « ressassant tout ça » ?

On pourrait d’abord croire que l’on assiste à un dialogue entre une fille et sa mère ; mais ce n’est peut-être pas seulement de cela qu’il s’agit. Le texte de Beckett se mue et se transforme. Les noms évoqués deviennent miroirs en anagramme et brouillent les pistes. May/Amy : ce qui fut vraiment ou ce qui fut seulement imaginé s’incarne et se désagrège au rythme lancinant de la chute des pas.

Marionnette

La Jeune Fille aux Mains Coupées

Marionnette, danse et vidéo

La Nef - Manufactures d'Utopies, 2018

Équipe :

  • Metteur en scène : Raffaella Gardon
  • Auteur : Nicolas Rollet
  • Dramaturge : Shirley Niclais
  • Interprètes : Xavier Berlioz, Inés Hernández
  • Scénographie : Antonin Heck
  • Marionnette : Nora Lesne
  • Création musicale : MonEx
  • Musique : Alexandre Gardon
  • Costumes : Nora Lesne
  • Soutien : La Nef - Manufacture d’utopies, Théâtre aux mains nues

Présentation

Une jeune fille perd ses mains – organes de l’agir et de la maîtrise de soi et de son environnement. À travers un parcours initiatique, elle engage une lutte pour trouver sa propre identité en dehors des schémas imposés par sa propre famille et la société, reprendre sa vie « en mains » et se dévêtir de sa marionnette.

La Jeune Fille aux mains coupées ou je me recompose (différemment) est une version modernisée de la fable médiévale « la jeune fille aux mains coupées » dont la plus célèbre adaptation est celle des frères Grimm, « Das Mädchen ohne Hände ». Une jeune fille décide de partir de chez elle après que son père, soumis aux volontés du diable, lui a coupé les mains. S’en suit un parcours initiatique qui permettra à la jeune fille de se recomposer en accord avec elle-même. Au fur et à mesure de sa marche, la jeune fille s’allègera du poids d’une société par trop schématique. A la recherche de ses propres racines, il lui faudra (re)passer par un état sauvage pour s’éloigner des normes imposées et peu à peu s’extirper du carcan social et culturel dans lequel elle était emprisonnée.

Marionnette

Sauve qui peut la vie

Cabaret marionnettique d’après les textes et chansons de Boris Vian

Théâtre aux Mains Nues, 2013

Équipe :

  • Mise en scène : Eloi Recoing, assisté de Shirley Niclais
  • Direction musicale : Gaëlle Le Courtois
  • Direction de la scénographie et de la construction des marionnettes : Einat Landais
  • Musicien : David Recoing
  • Création lumière et régie générale : Romain Le Gall-Brachet
  • Avec les élèves de la formation annuelle du théâtre aux Mains Nues
Autres Créations

Les Habitants du Seuil

Diptyque film et pièce vivante

Musée d'Art et d'Histoire de Colombes - 2018

Vol V ou la Mélancolie...

Théâtre-performance et déambulation

Théâtre de Gennevilliers - 2016

Digestion

Théâtre-performance et déambulation

Théâtre de Gennevilliers - 2015